mardi 24 mai 2011

écrire collectivement depuis votre pc : la nouvelle des covoiturés (dernier délai pour être publié)

Hier soir et cette nuit, vous avez emmené notre héros en ambulance vers un phare. Il y assiste à présent à une réception un peu étrange.


Nous allongeons le délai d'un dernier petit 'rab' pour que vous donniez suite à son histoire qui sera publiée dans le livre de Verviers Ville des Mots (sortie fin juin).


Pour lire la nouvelle collective (et enregistrer votre suite sous 'commentaire'), cliquez ici.

lundi 23 mai 2011

appel aux écrivains (amateurs ou autre) : urgence !

Il vous reste 12 heures pour continuer la nouvelle des covoiturés et être publié dans le livre témoin des activités de Verviers Ville des Mots 2011.

Vous n'allez pas laisser notre héros aux mains du Docteur Ferdi, tout de même ?!

Pour voir le début de la nouvelle écrite collectivement, cliquez ici.



dimanche 22 mai 2011

à Pepinster, Samedi 28 mai 2011

Depuis 2010, l'espace No, géré par la régie communale autonome de Pepinster, héberge la toujours jeune commission communale des jeunes (CCJ), mise en place dans les 70', qui se veut un promoteur de la culture et des loisirs.
La CCJ organise cette année encore le Pep Rock and Blues Festival, qui se déroulera ce samedi 28 mai 2011 dès 17 heures.




mardi 17 mai 2011

expo Matisse à Verviers

N'oubliez pas de visiter l'exposition consacrée au peintre Henri Matisse, toujours visible au CTLM à Verviers.

BestofVerviers avait invité A Moxhet a commenter l'exposition. (re)Lisez-le en activant le lien établi ici.

lundi 16 mai 2011

un agenda culturel minimaliste pour Verviers et sa région

Aux arts, etc. Verviers inaugure une rubrique 'agenda culturel' (onglet situé à droite sur la page d'accueil).

L'agenda est succinct et partiel : une activité maximum par jour de la semaine avec mention de l'heure, du lieu, du sujet et du genre.



vendredi 13 mai 2011

Mieux comprendre l'impact de l'image

En novembre 2011, le Centre Culturel Régional de Verviers proposera à tous publics (jeunes via les écoles ou en activités extra scolaires ; adultes via leurs groupements socio-culturels ou individuellement) d’amorcer une réflexion sur l’impact de l’image.
Les trois premières séances seront consacrées à la photographie, le programme comportant deux phases ultérieures centrées sur l’expression par le dessin, en particulier le dessin de presse (mars/avril 2012) et le calligramme (novembre 2012).
L’image dans l’espace public (affichage urbain), dans les médias, dans les expositions, servira de point de départ à la réflexion sur le message véhiculé (volontairement ou non) et sur les techniques appliquées (cadrage, lumière, etc.).
En effet, l’image peut biaiser la réalité ou l’éclairer d’un autre jour.
Il en est de même, de façon peut-être plus visible par le grand public, de l’information sous forme de textes.
Lisez l’exemple ci-dessous, rédigé au départ de notre presse d’avant-hier et aujourd’hui :
Le secteur culturel serait-il moins rigoureux que celui de la politique ?













La juxtaposition des deux informations (collectées dans la Meuse du 11 mai 2011 et l’Avenir du 13 mai 2011) et le titre guident le lecteur dans sa réflexion. L’exemple ci-dessus est particulièrement perceptible. Mais toute expression n’est-elle pas fondamentalement subjective ?

Les trois séances d’information sur l’image consisteront :
1/ en une exposition de photographies, décor pour un café débat (150 minutes)
2/ en une conférence sur la sémantique de l’image (120 minutes)
3/ en un atelier d’expression par la photo suivant consignes (150 minutes)
Renseignements : michele.corin@ccrv.be – 087/39.30.46

jeudi 12 mai 2011

les 27 et 28 mai à 20h15 à Spa

scénario écrit par des oxymoriens sur une idée de E Bonhomme

réservation indispensable auprès de Mme Van Brabant : 0495/70.74.54

PAF : 10€ (enfants jusqu'à 12 ans 5€ - art. 27)



mercredi 4 mai 2011

presse et technique : coefficient Gini et code QR

L'article publié dans l'Avenir

La presse répercute les statistiques divulguées par l'OCDE via l'agence Belga concernant l'inégalité des revenus par pays.
Les remarques concernant la statistique, formulées hier au sujet du sondage mené par références.be, valent ici aussi. Cela étant, un site affichant la devise de Benjamin Disraeli, homme politique et écrivain anglais, figure marquante du roman social au XIXème siècle "il y a trois sortes de mensonges : les mensonges, les gros mensonges et les statistiques' présente une carte : cliquez ici
Le coefficient de Gini serait du à Corredo Gini, statisticien, sociologue et économiste italien du XXème siècle.
Une autre personnalité liée à l'Italie se profile en filigrane d'un article publié ce jour dans le journal la Meuse :


Depuis 2006, l'artiste italo belge Fabrice de Nola intègre les codes-barres à son art. Visitez son site en cliquant ici.

Le code-barre a été breveté en 1952 mais n'a connu une utilisation courante qu'à partir de 1973. Le code QR est un code bidimensionnel (2D) développé dès 1994. Fabrice de Nola n'est pas le seul artiste à avoir introduit ce composant dans son art : le procédé commence à se généraliser comme un outil de promotion original, à la manière de ces clefs usb que l'on abandonne, maçonnées dans l'espace public. Le monde de la publicité (Louis Vuitton), de la musique (Valentine's Day) et de la politique (voir l'article de la Meuse) mènent la société vers ces outils de communication issus du progrès technologique.

mardi 3 mai 2011

la culture en question

Le journal La Meuse a commenté un sondage effectué par Références.be qui se décrit comme un site proposant 'un vaste choix d'emplois', 'les meilleures offres' et 'd'excellents conseils pour votre carrière'.
Ce site est la vitrine internet du groupement formé par les sociétés Vacature cv et Jobs&Careers cv, entreprises agréées comme bureaux de médiation d'emplois privés dans la Région flamande.

Cliquez sur le texte pour l'agrandir.

Sans s'avancer sur la formulation des questions, la délimitation du sujet ou encore la méthode employée pour réaliser le sondage, on peut à tout le moins renforcer l'effort consenti pour rendre attentif le citoyen à la problématique :
Quelle place la culture prend-elle / doit-elle prendre dans notre société? Quelle part des deniers publics doit lui être consacrée? Qu'est-ce qui caractérise l'activité culturelle? Quels doivent être les liens entre les acteurs culturels publics et privés ? entre les opérateurs institutionnels et les (créateurs) particuliers? L'éducation à la culture est-elle une part de la matière définie comme étant la culture ?
Dans notre société, il est indéniable qu'un des indicateurs de la valeur d'une fonction est ce qu'elle rapporte à son détenteur. Selon le sondage considéré, l'horeca, le tourisme et la culture seraient donc des valeurs inférieures à nos yeux.
Pour lancer le débat, on a que l'embarras du choix...Que vous suggère ce qui suit?
Avant d'en venir à la culture, je considère que le monde a faim, et qu'il ne se soucie pas de la culture ; et que c'est artificiellement que l'on veut ramener vers la culture des pensées qui ne sont tournées que vers la faim.
Le Théâtre et son Double, 1938, Antonin Artaud